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Compte rendu Réunion du Comité de pilotage Ressources pédagogiques mardi 27 juin 2006 - Paris (siège Eco-emballages)


Présents : Pascal PLUMET, Joël OUF, Charles BRAULT, Juliette CHERIKI-NORT, Hélène GAUTHIER, Isabelle LEPEULE, Daniel OUSTRAIN
Excusés : Olivier BLANC, Emmanuel REDOUTEY

Début de séance 10h00

A/ Point global sur l’axe III

Après échanges sur l’état d’avancement des différents groupes d’actions ( etat_avancement_juin.doc? ) une discussion est engagée sur les enjeux et limites de l’axe afin de définir nos priorités.

1 / Le développement de ressources pédagogiques sur de nouveaux thèmes et pour divers publics est un enjeu à part entière.
C’est aussi un moyen pour répondre à des objectifs tels que la mobilisation de nouveaux partenaires et la mobilisation des praticiens.
Cependant, nous devons rechercher une cohérence entre les actions de l’axe et être en capacité (ressource humaine et financière) de mener leur réalisation. Attention aussi à ne pas multiplier les dispositifs.
2/Il paraît judicieux de privilégier le travail sur des thèmes transversaux (ex : consommation, agenda 21).
3/ Il faut envisager de proposer, dans le prochain Projet Pluriannuel, de travailler sur des thèmes naturalistes (ex : biodiversité, Natura 2000 empreinte écologique).
Cela pourrait offrir des entrées territoriales intéressantes et répondrait aux attentes des membres (ex : Espaces et recherches a conçu des modules pédagogiques, en pédagogie de projet, basé sur le calcul de l’empreinte écologique)
En ce sens, un partenariat avec Réserves naturelles de France (favorisé par Muriel LENCROZ qui travaille dans une réserve) est envisageable. Une réunion nationale s’est tenue à Toulouse. RNF reconnaît en E&N l’expertise EE et il y’a de bonnes pistes pour du travail en commun. RNF a aussi sollicité le CREE Auvergne.
Il faut voir aussi avec les services Espaces naturels sensibles des territoires (départements) qui ont des techniciens et travaillent avec les conservatoires
Nous sommes en contact avec WWF et un essai de montage partenarial a été réfléchi avec le service com’ du WWF mais pour l’instant ça n’a pas abouti. Pour info, la Ligue de l’enseignement s’est rapproché du WWF pour concevoir un outil sur l’empreinte écologique. Le WWF et Tetra-Pack ont réalisé une exposition présentée à la Mairie du Havres (dans le cadre de son agenda 21).

4/Le rapprochement d’autres structures et réseaux est à rechercher.
Cependant, il faut trouver un équilibre entre le temps nécessaire pour construire un projet avec d’autres acteurs au niveau national et les besoins d’avancer sur du concret.
Actuellement, nous travaillons avec la FEE sur Eco-ecole. Sur la Directive Cadre Eau, nous nous rapprochons de Uncpie et FNE. Sur le thème de la Consommation, nous pensons à Artisans du Monde (contact : Françoise MICHALON, commission éducation - bénévole, instit’ en Ardèche) ainsi qu’à Léo lagrange.
Dans le cadre de certain projets rassemblant plusieurs réseaux (ex : DCE), le Réseau Ecole et Nature pourrait se positionner sur une fonction d’animation de réseau.
5/ Il faut communiquer sur nos compétences
Il faut faire connaître et reconnaître l’expertise du Réseau Ecole et Nature en matière de pédagogie face à la montée des boîtes de communication qui se positionnent sur la production de ressources pédagogiques. Une stratégie de lobbying est à imaginer.

Sur le plan financier, il est rappelé que l’Axe 3 génère des bénéfices qui servent à supporter d’autres actions du Reseau.
Le budget comprend une part importante de prestations et de missionnements de structures d’EE du réseau.
Ecoemballages est actuellement le seul partenaire privé et nous soutient sur une grande part de nos actions (Rouletaboule, Ecoparlement des jeunes, dynamique d’echanges).
Comment augmenter notre autofinancement pour pallier à l’éventuel désengagement d’un partenaire ?
Nous devons mobiliser d’autres partenaires (ex : Gaz de France : partenaire éventuel et pas forcément sur le thème de l’énergie).
La territorialisation des actions est une piste avancée pour mobiliser des financements provenant de collectivités territoriales. Sur un autre plan, l’ouverture à l’échelle supranationale est fortement engagée. L’Europe et la Francophonie sont des cadres intéressants pour de futures actions.

B / Cadrage d’actions prioritaires


CONTRIBUTION EDUCATIVE A LA TRANSPOSITION NATIONALE DE LA DIRECTIVE CADRE EUROPEENNE SUR L EAU


Texte introductif
Le Réseau Ecole et Nature a souhaité s’impliquer dans la dynamique de la consultation nationale sur la DCE dans l’objectif de contribuer à l’amélioration des pratiques éducatives en matière de participation citoyenne, avec le soutien du Ministère de l’Ecologie et du Développement Durable.
Un bilan a été réalisé avec objectif de :
- analyser les expériences éducatives menées dans le cadre de la consultation de 2005
- initier la formalisation de pratiques et méthodologies - mises en œuvre pour des actions menées auprès d’un public adultes - et qui seraient reproductibles notamment pour la 2ème phase de la consultation nationale
- Définir des perspectives au niveau national pour la mise en œuvre des actions éducatives dans le cadre de la 2ème phase de la consultation nationale
Plusieurs perspectives sont envisagées :
- Elaboration, au niveau national, d’un plan d’action partagé par tous les acteurs impliqués dans la réalisation d’actions éducatives
- Développement d’un dispositif éducatif national basé sur des dynamiques territoriales
o Développement de nouveaux supports pédagogiques adaptés aux territoires
o Développement d’activités basées sur des approches participatives
o Développement d’activités et de supports pédagogiques incitant les publics à participer à la gestion de l’eau dans leur territoire
o Diversification des « publics cibles »
o Dynamiques territoriales
- Mise en réseau et mutualisation des pratiques au niveau national et européen
o Organisation de rencontres thématiques nationales
o Développement d’une plate-forme d’échanges entre éducateurs sur Internet
o Dynamisation d’un réseau européen
- Renforcement des capacités des éducateurs
Ces perspectives doivent être maintenant traduites en proposition d’actions à soumettre à la Direction de l’eau du MEDD ainsi qu’aux différentes agences de l’eau.
Des partenaires pourraient être intéressées (ex : Lyonnaise des eaux).
La mise en œuvre de ces actions doit s’appuyer sur les réseaux territoriaux impliqués dans les différents bassins hydrographiques.

Débat :
Des Rencontres thématiques nationales sur l’eau pourraient être un démarrage pour dynamiser des groupes, récupérer de la matière. On pourrait produire sur les différentes actions (ex : diversification des publics cibles. Le travail d’organisation des rencontres pourrait se faire avec FNE, UNCPIE, les agences.
Il y’a la possibilité de mettre en œuvre des Rencontres par Bassin puis la mise en œuvre de travaux par bassin qui viendraient nourrir une réflexion au niveau national. On s’appuie sur le fonctionnement des assises régionales.
Les 5 bassins peuvent travailler sur les mêmes productions. Ces rencontres par bassins peuvent aussi correspondre à de la formation / action.

Il faut aider les agences de l’eau à travailler sur leur territoire. C’est un défi à relevé car les territoires des Agences de l’eau sont différents des échelles habituelles (département, région ). Il y’a une cohérence nationale que peut apporter le REN. Le REN peut aider à la coordination d’actions sur les bassins et à l’animation de « l’inter réseaux » (Uncpie / FNE, REN…). Le REN doit assurer le lien entre les différents bassins.Des réseaux départementaux et Graine sur le bassin Rhône Méditerranée Corse sont déjà en relation.
Il peut être envisagé de mettre en œuvre en parallèle une action au niveau national sur les publics scolaires, avec une organisation par bassin, et travailler sur d’autres publics pour produire des ressources.
REN a la possibilité d’impulser dans les bassins l’organisation, les productions et suite à la consultation faire une Rencontre Nationale pour synthétiser tout ça.

Concernant les dynamiques européennes, il peut y’avoir un échange de pratique plus intéressant qu’au niveau national.
Nous pourrions avoir une réflexion sur les échanges européens. Ex : Projet inter-reg Normandie / Angleterre – sur la problématique des déchets. Cf. site WEB du SMEDAR
Expérience européenne : les Ecoteam. Ce sont des familles candidates pour devenir éco-responsables, pour participer à des actions quotidiennes expérimentales.

Conclusion :
Proposer une rencontre de 2 jours en amont de la consultation (présentation, formation. Cf. formation enseignants, animateurs de l’éco-parlement) pour définir un cadre commun d’organisation par bassin, un plan d’action partagé.
Rencontre formation action dans les bassins. E&N coordonne avec les réseaux locaux. Suite aux rencontres, il y’a de la production avec des stratégies de bassin. Les participants pourraient arriver avec des propositions d’actions
Mise en œuvre des actions et consultation
Mutualisation nationale (rencontres nationales constructives, festives et ouvertes sur l’avenir).

EVALUATION DE ROULETABOULE

Texte introductif
L’expérience unique du dispositif Rouletaboule, basée sur dix années de développement et d’animation, offre un terrain d’évaluation particulièrement intéressant.
D’une part, sur le plan pédagogique, l’incidence de Rouletaboule sur les comportements des bénéficiaires des animations pourrait faire l’objet d’une analyse très enrichissante et donner des pistes de réflexion pour le développement de nouvelles pratiques et de nouveaux outils.
De même, ces dix années offrent un panel important d’utilisateurs (enseignants, animateurs, ambassadeurs du tri) auprès desquels nous pourrions évaluer l’incidence de Rouletaboule sur leurs pratiques pédagogiques.
D’autre part, le Réseau Ecole et Nature souhaiterait évaluer l’incidence de Rouletaboule sur l’évolution de l’éducation à l’environnement en France, en se basant notamment sur le développement du réseau Ecole et Nature (dynamique de construction, fonctionnement, structuration, dynamique partenariale).
En effet, le développement de Rouletaboule a fortement contribué à la mise en réseau, la professionnalisation, le développement de partenariats et la crédibilité des acteurs associatifs (notamment auprès des collectivités locales).
Cette évaluation offrirait des arguments précieux pour montrer en quoi Rouletaboule participe à la généralisation de l’éducation à l’environnement vers un développement durable en milieu scolaire.
La constitution d’un groupe de travail auquel nous souhaiterions associer des spécialistes de l’évaluation devrait permettre de préciser les objectifs les plus pertinents pour ce travail et lancer une étude au cours du deuxième semestre 2006.

Débat :
Nous avons 6000 € d’Ecoemballages pour ce travail.
Nous pourrions évaluer les apports voire incidence sur les pratiques des enseignants par le biais d’entretien avec les enseignants ayant fait intervenir des animateurs travaillant avec Rouletaboule. Ca permettrait de mobiliser le MEN et de montrer l’apport des éducateurs de l’EE.
Cette étude peut permettre de faire valoir la plus value de ce type de dispositif par rapport aux outils pédas éphémères qui fleurissent sur le marché.
On ne doit pas rester que sur l’évaluation de l’aspect pédagogique.
Nécessité de faire un déblayage sur les objectifs de cette évaluation et les possibilités.
Consulter Dominique COTEREAU au préalable. Lui demander d’y réfléchir, de montrer ce qui peut paraître évaluable.
Eventuellement ensuite, missionner Dominique qui devra alors s’appuyer sur un groupe (groupe de travail ou comité de pilotage RP).

Conclusion :
Prendre contact avec D Cottereau, et voir avec elle sur ce qui est faisable, pas faisable, faire un cahier des charges pour ce travail.
Travailler la dessus pour amorcer, la pompe.


RENCONTRES RESSOURCES PEDAGOGIQUES

Texte introductif :
Les Rencontres qui se sont déroulées en mars 2006 ont rassemblé peu de participants (une quinzaine).
Elles ont permis toutefois de relancer la réflexion sur les possibilités de diversification des ressources pédagogiques, d’ouverture à l’international ou encore de dynamisation des actions dans les territoires.
Des pistes d’actions ont été définies pour des chantiers émergents comme « consommation ».
Il est envisagé d’organiser des rencontres en octobre 2006 afin de mobiliser les membres du Réseau Ecole et Nature sur des actions opérationnelles et fixer ensemble les grandes lignes du projet 2007.

Débat :
Quels sont les objectifs génériques de ces rencontres ?
Mobiliser des acteurs sur le projet E&N « Ressources pédagogiques » ? La forme des rencontres « ressources péda » telles que celles de mars 2006 ne répond pas à cet objectif.
Pour la mobilisation des acteurs, Il y’a des rencontres thématiques (temps de travail) faites par des groupes de travail et des rencontres géographiques (rencontres en région).
Des rencontres en octobre doivent permettre de construire le projet de l’année d’après.

A quel moment avoir une rencontre sur un échange pédagogique ? (on est plus sur l’échanges de pratiques, un travail de production). Ce sont les rencontres nationales.

Conclusion :
Mardi 10 octobre : avoir un comité de pilotage élargi avec des membres de groupes de travail (on est plutôt sur de la stratégie). Sont sollicités ceux qui sont fortement impliqués. Puis on fait un appel aux personnes qui souhaitent contribuer au projet 2007.
Proposer que les Rencontres nationales soient mises dans les ressources pédagogiques

ECORESPONSABILITE

Texte introductif :
Le REN souhaite apporter son expertise et son savoir-faire en pédagogie et en animation de réseau pour le développement et la mise en œuvre du programme Eco-Ecole en France.
Eco-ecole est un programme de la Fondation pour l’Education à l’Environnement en Europe (FEEE) développé en partenariat avec le REN, avec le soutien d’Eco-Emballages et de la Fondation Ensemble.
Une convention est en cours de définition avec la FEEE pour fixer notre partenariat.
Un appel à participants à été lancé auprès des adhérents pour identifier ceux qui souhaitent s’impliquer dans ce programme.
Eco-ecole constitue un terrain privilégié d’expériences éducatives qui pourra servir de base au développement de ressources pédagogiques sur la notion d’ecoresponsabilité, sur la gouvernance et sur les thématiques abordées dans le programme.
En parallèle, le Réseau souhaite démarrer un travail sur l’éco-responsabilité dans les établissements scolaires, préoccupation grandissante avec la mise en place de la généralisation de l’EEDD et la prise en compte plus marquée du principe des Agenda 21 territoriaux.
Dans ce cadre, le réseau envisage de constituer un groupe de travail national ayant pour objectifs la conception d’une démarche permettant de relier projet éducatif de l’établissement et notion d’éco-responsabilité.
Ce groupe de travail serait constitué d’acteurs associatifs de l’EE, de gestionnaires d’établissements, d’agents de collectivités territoriales concernés par ces questions et, selon les possibilités, d’enseignants. Un rapprochement avec le Ministère de l’Education nationale est envisagé.
Cette réflexion serait à mener en étroite relation avec le réseau ECORCE, réseau initié au sein d’Ecole et Nature et regroupant des responsables de centres d’accueil de groupes de jeunes soucieux d’une bonne gestion environnementale, sociale et économique de leur structure.

Débat :
Agenda 21, eco-ecole, ecoresponsabilité sont des concepts qui tendent vers une démarche permettant la mise en oeuvre des principes du développement durable appliqués à un lieu de vie.
L’Eco-responsabilité peut être perçu comme seulement environnemental.
L’intérêtLe but est de travailler sur
L’expérience d’Eco-ecole peut nous permettre de faire une expertise des démarches en cours et d’imaginer des outils qui pourraient être utiles à la démarche.
On doit être vigilant à ne pas s’enfermer dans la démarche eco-ecole mais être sur un accompagnement de la démarche DD.
Réseau Ecole et Nature est membre du comité de pilotage EDD du Comité 21. La rédaction d’un guide méthodologique « Agenda 21 scolaires » en cours, à laquelle nous avons apporté une contribution (partie démocratie participative).
Les agendas 21 scolaires menés par des enseignants seuls manquent de travail sur les notions de gouvernance. Peut être que le REN peut apporter ses compétences sur la partie gouvernance ?
On est plus sur la méthode qu’on porte, notamment la démocratie participative.
Notre fonction au niveau du REN serait de renforcer les compétences des éducateurs. Est ce que notre rôle n’est il pas de constituer un réseau d’acteurs capable d’accompagner les agendas 21 scolaires ?
Il est primordial de communiquer sur nos compétences pédagogiques et sur le tissu territorial.
Nous pouvons mettre en valeur le savoir-faire du Reseau Ecole et Nature, notre capacité à accompagner en nous appuyant sur des expériences menées dans les territoires et en capitalisant au niveau national.

Il est nécessaire de formaliser cette compétence d’accompagnateur. Il y’a un travail de reconnaissance à faire de ces acteurs (une labellisation). La labellisation pourrait s’imaginer sur la base de la formation des acteurs sur un minimum d’entrée thématique.

Conclusion :
Construire et proposer un réseau d’animateurs à même d’accompagner des projets « éco-responsables » d’établissements.
Renforcer les compétences de ces acteurs (formation, rencontres…etc)
Il est nécessaire de rédiger au sein du réseau un document de positionnement affirmant notre compétence dans l’accompagnement des établissements dans ce domaine.

CONSOMMATION

Texte introductif :
Le REN coopère avec le Programme des Nations Unies pour l'Environnement (PNUE) pour développer des actions d’éducation à la consommation en France et diffuser le kit « YouthXchange? », réalisé par le PNUE avec l'UNESCO. Ce kit vise à inciter les jeunes à tendre vers un style de vie basé sur une consommation plus responsable.
Le REN désire concevoir et développer en France un cadre pédagogique et organisationnel en complément du kit YouthXchange?. Ce travail semble pouvoir se mettre en œuvre à l’échelle francophone.
Au cours de la Rencontre « ressources pédagogiques » de mars 2006, deux actions ont été définies :
- Développer un dispositif éducatif national,
o Ancré dans les territoires
o Pour scolaires, extrascolaires, adultes
o Rapprochement d’autres réseaux nationaux pour lancer une action de grande ampleur
o Approche de la consommation par rapport à notre impact sur l’environnement
- Réaliser un recueil (ex : guide, CD Rom, …) d’expériences / actions / outils / acteurs destiné aux éducateurs désireux de développer des projets d’éducation à la consommation.
o Donner des éléments de méthodes aux éducateurs
o mobiliser les éducateurs sur l’education à la consommation

Un appel à participants a été lancé pour constituer un groupe de travail sur ces actions.
Des partenaires potentiels ont été identifiées :
Techniques :Artisans du Monde, Leo lagrange, Inc,
Financier : Dexia, Caisse nationale des caisses d’épargne, veolia, EdF?, Lyonnaise
Un concept a été proposé (soumis à Fondation ensemble). C’est un dispositif éducatif national ancré dans toutes les échelles territoriales, visant à assurer l'accompagnement éducatif de groupes de jeunes, en milieu scolaire ou extra-scolaire (Possibilité de toucher aussi des adultes), dans la réalisation d'actions concrètes et collectives relatives à la consommation durable.
Le REN a participé à l’atelier « Consommation » dans le cade du colloque sur la décennie de l’Education au Développement Durable.

Débat :
Concernant le dispositif, le GT doit s’approprier les écrits, les faire évoluer puis travailler sur les concepts. Le CP reste en validation.
GT doit aussi plancher sur la proposition de réalisation de l’inventaire. Ce doit être plutôt un guide qui vient en complément du YouthXchange? qui n’est pas assez pédagogique.

Le temps imparti au débat n’étant pas suffisant pour aborder tous les points, ce sujet sera traité par mail :
o Quelle position du REN / quelle approche par rapport à d’autres partenaires techniques (défenseur conso, commerce équitable…) ?
o Réflexion sur les possibilités de lancement avec des actions pilotes dans des régions (voire sur des thèmes précis avec des partenaires spécifiques - ex : lyonnaise des eaux)
o Quel travail au niveau de la Francophonie (ils sont intéressés par un inventaire, un travail sur les pratiques)


ECOPARLEMENT DES JEUNES

Isabelle ?

3 / Fonctionnement du comité de pilotage ressources pédagogiques


Fréquence des réunions :
entre un mois et 15 jours avant chaque CA (octobre, janvier + mai/juin).
Réunions physiques : 1 au printemps et 1 en automne.
Réunion téléphonique en janvier.
Prévoir des réunions téléphoniques (entre 1h et 2h) en plus pour projets et points précis.

La prochaine réunion fera l’objet d’un comité de pilotage élargi (confer conclusion paragraphe « rencontre ressources pédas) le mardi 10 octobre 2006.

Les membres du CP sont présent en leur nom ou au nom de leur structure ?
Joël au nom de CARDERE
Charles sur son temps perso et au nom d’Espaces et Recherches
Hélène, pas vraiment défini
Pascal et Juliette en leur nom

Pour un meilleur suivi des projets, il est proposé qu’il y’ait des référents par projets. les membres du CP se répartiront les projets.

Concernant les groupes d’action, il y’a actuellement des CP (ex : ecoparlement des jeunes, montagne). Il serait plus judicieux de n’avoir que des Groupes de Travail et peut être des groupes techniques si nécessaire (ne parler de CP que pour le pilotage de l’axe).
Ainsi, des comités techniques pourraient être créées sur des enjeux transversaux (ex : « pratiques pédagogiques », « ressources pédas et l’international »)

Fin de séance 18h
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